Alger s’inquiète de la baisse du baril de pétrole, qui avoisine désormais les 40 dollars le baril, conséquence d’une offre abondante et d’une demande freinée par le ralentissement mondial. Cet effondrement des prix plonge l’Algérie dans une « crise économique et financière.»
COP28 : Après l’accord de Paris, voici l’accord de Dubaï
Si le premier a permis de rêver à un monde sans gaz à effet de serre, le second, semble-t-il, va...