Par Adeyola Opaluwah
La contribution prévue déterminée au niveau national (INDC) de la Norvège a été soumise à l’avance d’un nouvel accord climatique universel à être adopté par les gouvernements lors de la conférence climatique de l’ONU à Paris en Décembre.
En comptant la soumission de la Norvège, 31 Parties à la CCNUCC ont présenté leurs INDC jusqu’à présent. Ce total inclut toutes les Parties de l’Union européenne, en plus de la Commission européenne et la Suisse.
Le nouvel accord entrera en vigueur en 2020, habilitant tous les pays à agir pour empêcher l’augmentation de la température mondiale de ce siècle au-dessus de 2 degrés Celsius, et pour et à récolter les nombreuses possibilités qui découlent d’une transformation mondiale nécessaire vers un développement propre et durable.
Christiana Figueres, Secrétaire exécutive de la CCNUCC encourage les pays à soumettre leurs INDC dès qu’ils y sont prêts, en soulignant leur engagement et leur soutien pour le succès des résultats de Paris.
Les gouvernements ont convenu de soumettre leurs INDC à l’avance de Paris. Il est attendu de nombreux pays développés et aussi des pays avancés dans leur développement de le soumettre leurs INDC en amont de la conférence.
Les INDC ont été choisies comme le véhicule pour les contributions nationales en vue de l’accord international de Paris. Elles comprennent par exemple les détails des réductions d’émissions que les pays entreprendront et peuvent inclure d’autres plans d’action couvrant par exemple l’adaptation au changement climatique.
Les pays ont accepté qu’il ne puisse pas y avoir de retour en arrière dans leurs contributions. Cela signifie que le niveau d’ambition pour réduire les émissions augmentera avec le temps.
Les pays sous l’égide de la CCNUCC ont déjà finalisé le texte de négociation pour l’accord de Paris. La prochaine session de négociations officielles aura lieu en juin au siège de la CCNUCC à Bonn, en Allemagne.
